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En 2022, la thématique se focalisait sur l’équipement permettant la modulation intraparcellaire en Wallonie

Le constat initial de cette enquête se base sur l’observation qu’en France, environ 10 % des surfaces agricoles seraient cultivées, au moins pour une partie de la rotation, en modulation intraparcellaire (amendement, semis, fertilisation, protection phytosanitaire, etc.). 

En Wallonie, cette proportion se situerait sous 1 %, voire sous 0,1 %. Parmi les arguments souvent mis en avant pour expliquer cet écart, on peut citer les interrogations sur le retour sur investissement, une crainte légitime par rapport à la maîtrise de nouveaux outils numériques ou encore la complexité de la mise en œuvre. 

Ces freins n’étant probablement pas figés éternellement, une question que l’on se pose depuis plusieurs années avec les membres de WalDigiFarm est la suivante : l’équipement du parc matériel actuel constitue-t-il lui aussi un frein au développement de ces techniques, ou non ? Nous avons tenté d’amener des éléments de réponse en interrogeant une vingtaine d’acteurs du secteur de la machine agricole en Belgique.   

Télécharger les résultats de l'enquête 2022